Au "bal des gens bien" d'Adamo
Les chansons de Salvatore s'accordent bien avec la théatralité joueuse de Bénabar ("vous permettez monsieur" devient une tranche de vie),
avec la naïveté sautillante de Cali, la fraîcheur de Renan Luce,
la rêverie ironique de Souchon (même si je préfère "les filles du bord de mer" par Arno),
la douceur posée de Maurane, les origines méditéranéennes de Juliette ("dormi tesoro mio egli ti portera tutte le belle cose che tu potrai sognar"),
le romantisme débridé de Stanislas,
le côté folk de Raphaël ("le ruisseau de mon enfance"), le côté "yalla" de Calogéro,
la gouaille d'Adrienne Pauly et d'Olivia Ruiz,
la guitare de Thomas Dutronc qui chante comme son père,
et je laisse volontiers les mains de Julien Doré sur mes hanches...
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